Après les éruptions solaires extra-ordinaires de cette semaine, je me suis mise à chercher des témoignages de ces aurores boréales qu'on annonçait spectaculaires à cause de ce phénomène (et plus agréables à l'oeil que l'aiguille de la montre qui retarde de 10 minutes, effets secondaires obligent...).
Et je suis tombée sur un article du Washington Post exposant le travail de Dennis Anderson, un des rares photographes à avoir fait des couleurs du ciel un véritable gagne-pain. Il s'est installé en Alaska et ne travaille qu'avec des appareils argentiques, fait plutôt rare à l'ère du numérique, mais le film reste un support personnalisable qui offre une meilleure définition d'image (40 megapixels!).
Je vous laisse admirer le résultats de ces centaines d'heures passées à -40°C, qui valent bien pour ma part quelques années de plus de patience avant de pouvoir observer ces lueurs dansantes for real.
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